Ruine du temple de Minerve au forum de Nerva.
Ruine du temple de Minerve au forum de Nerva
Plume et encre grise, graphite
Longueur : 51,5 cm
Largeur : 39,6 cm
Jean-Claude Naigeon (1753-1832)
Naigeon traite ici de façon pittoresque de la rencontre entre l’histoire antique et la vie de la Rome moderne. Sur les vestiges du temple de Minerve, alors à demi enfoui, les habitants s’étaient peu à peu aménagé des maisons en y perçant des fenêtres et en y greffant des balcons. Un débris de ce monument estropié avait même été surnommé par les Romains le Colonnacce. Ce portique corinthien, orné d’une statue de Minerve et d’une frise illustrant les travaux manuels dont la déesse était la patronne, se trouvait presque à hauteur des yeux. Les premiers photographes nous livrent encore le témoignage du portique à demi enterré, puisqu’il ne fut dégagé qu’au milieu du XX e siècle. L’artiste suggère la dimension du monument en lui mettant en regard la taille des fenêtres et celle des personnages qui tirent le cheval, dans la partie inférieure droite.
Ce dessin ainsi que 45 autres ont été publiés à l’occasion d’une exposition faite par la galerie Motte Masselink en 2012. La Ruine du temple de Minerve est reproduit sous le numéro 6.
L’ensemble de ces dessins est resté dans la famille de l’artiste depuis son décès en 1832. Et c’est seulement en 2012 que l’on entrevoit enfin une partie du travail de ce lauréat du Grand Prix de Rome des Etats de Bourgogne. Après avoir voyagé en France et dans toute l’Italie et après avoir connu les plus grands artistes de son époque, il retournera enseigna le dessin à Dijon où il meurt.
Ruine du temple de Minerve au forum de Nerva
Plume et encre grise, graphite
Longueur : 51,5 cm
Largeur : 39,6 cm
Jean-Claude Naigeon (1753-1832)
Naigeon traite ici de façon pittoresque de la rencontre entre l’histoire antique et la vie de la Rome moderne. Sur les vestiges du temple de Minerve, alors à demi enfoui, les habitants s’étaient peu à peu aménagé des maisons en y perçant des fenêtres et en y greffant des balcons. Un débris de ce monument estropié avait même été surnommé par les Romains le Colonnacce. Ce portique corinthien, orné d’une statue de Minerve et d’une frise illustrant les travaux manuels dont la déesse était la patronne, se trouvait presque à hauteur des yeux. Les premiers photographes nous livrent encore le témoignage du portique à demi enterré, puisqu’il ne fut dégagé qu’au milieu du XX e siècle. L’artiste suggère la dimension du monument en lui mettant en regard la taille des fenêtres et celle des personnages qui tirent le cheval, dans la partie inférieure droite.
Ce dessin ainsi que 45 autres ont été publiés à l’occasion d’une exposition faite par la galerie Motte Masselink en 2012. La Ruine du temple de Minerve est reproduit sous le numéro 6.
L’ensemble de ces dessins est resté dans la famille de l’artiste depuis son décès en 1832. Et c’est seulement en 2012 que l’on entrevoit enfin une partie du travail de ce lauréat du Grand Prix de Rome des Etats de Bourgogne. Après avoir voyagé en France et dans toute l’Italie et après avoir connu les plus grands artistes de son époque, il retournera enseigna le dessin à Dijon où il meurt.
Ruine du temple de Minerve au forum de Nerva
Plume et encre grise, graphite
Longueur : 51,5 cm
Largeur : 39,6 cm
Jean-Claude Naigeon (1753-1832)
Naigeon traite ici de façon pittoresque de la rencontre entre l’histoire antique et la vie de la Rome moderne. Sur les vestiges du temple de Minerve, alors à demi enfoui, les habitants s’étaient peu à peu aménagé des maisons en y perçant des fenêtres et en y greffant des balcons. Un débris de ce monument estropié avait même été surnommé par les Romains le Colonnacce. Ce portique corinthien, orné d’une statue de Minerve et d’une frise illustrant les travaux manuels dont la déesse était la patronne, se trouvait presque à hauteur des yeux. Les premiers photographes nous livrent encore le témoignage du portique à demi enterré, puisqu’il ne fut dégagé qu’au milieu du XX e siècle. L’artiste suggère la dimension du monument en lui mettant en regard la taille des fenêtres et celle des personnages qui tirent le cheval, dans la partie inférieure droite.
Ce dessin ainsi que 45 autres ont été publiés à l’occasion d’une exposition faite par la galerie Motte Masselink en 2012. La Ruine du temple de Minerve est reproduit sous le numéro 6.
L’ensemble de ces dessins est resté dans la famille de l’artiste depuis son décès en 1832. Et c’est seulement en 2012 que l’on entrevoit enfin une partie du travail de ce lauréat du Grand Prix de Rome des Etats de Bourgogne. Après avoir voyagé en France et dans toute l’Italie et après avoir connu les plus grands artistes de son époque, il retournera enseigna le dessin à Dijon où il meurt.